Canicules, pics de sécheresse aux quatre coins du monde, pluies diluviennes, feux de forêts, autant de news qui font le buzz actuellement de l'actualité. Face à tous ces désastres pour faune-flore et sinistrés, un seul responsable pointé du doigt, le réchauffement climatique.
Loin de vouloir adhérer aux idées des climatos sceptiques, mais quelque part, les médias français se font trop l’écho d'une forme de pensée unique, favorable aux idées politiques du monde des "verts" et aux générations Thunberg. La chanson du changement climatique tourne en boucle et tout le monde reprend les mêmes rapports scientifiques comme en dernier ceux du GIEC. Oui le changement climatique due à l'hyper activité humaine et industrielle est une réalité et une menace, mais les catastrophes qui en découlent pourraient être moins dramatiques en destructions et en pertes de vies humaines, si la folie de dominer la nature n'était dans l'homme.
Bons nombres des feux dévastateurs sont allumés par la main de l'homme, comme depuis toujours et la majorité des images dévastatrices des torrents d'eau détruisant toute forme de "civilisation" sont dus à l'artificialisation des terres. L'homme à l'esprit supérieur du vingtième siècle, sous couvert de développement et d'adoption du culte à la croissance, a toujours pensé qu'il parviendra à dompter la nature et la façonner à ses plans, comme si les anciens étaient des ignorants. Le béton est ainsi devenu roi, au nom du principe que "quand le bâtiment va, tout va". Que l'eau inonde les métros new new-yorkais, dévale dans les rues des villes chinoises ou ailleurs en Europe, submerge des zones jamais exploitées du temps où la pelle et la brouette étaient les seuls outils pour s'attaquer à la nature, n'interroge pas.
Il est indéniable que la "où il y a l'homme, il y a de la merde" et que le développement a fini par faire brûler la planète de partout. Alors, ce n'est pas parce que nous sommes en période de casting aux élections présidentielles qu'il faut nous bassiner à longueur de journées avec le changement climatique. La cause première est l'artificialisation de la nature par les grands groupes constructeurs et leurs alliés politiques. Le changement climatique s'exprime par de violentes tempêtes essentiellement, avec comme acteur à la base la pollution de l'air, la destruction des couches d'ozone qui entraînent la montée des températures des océans et des pôles. Si l'eau évaporée ou fondue pouvait retourner naturellement à la terre, sans se heurter à du bitume, des retenues, des canalisations, des stations d'épuration, des mégalopoles urbaines, autant d'autoroutes ou barrages pour l'eau, les effets dévastateurs seraient sans doute atténués. Mais il est politiquement plus facile de trouver un bouc émissaire, le réchauffement climatique, que d'avouer que c'est la multiplication de ses projets de développement et de croissance cautionnée qui est la cause des conséquences actuelles des catastrophes en tous genres de la planète.