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L'Infos'Chasse 67 du printemps est sorti ce jour, avec mon billet dans la rubrique "Dans l'oeil du viseur", intitulé, "Coupe, bébé, coupe contre nous sommes le chêne, le cerf, l'oiseau". L'article étant assez long, il n'a pu être diffusé en entier dans le trimestriel. La deuxième partie paraîtra à l'été. Pour les lecteurs et abonnés du blog, il est bien sûr livré en bloc :

En lançant en décembre dernier une pétition pour la sauvegarde de la grande faune et la biodiversité, la Fédération des Chasseurs du Haut-Rhin a voulu sensibiliser partisans et grand public sur la diminution des populations de grands animaux sur le département, en lien avec la pression de chasse exigée par les autorités forestières, préfectorales, les organisations agricoles et sylvicoles. Elle a aussi provoqué de violentes, voire inattendues réactions, parfois empreintes de sarcasme, de la part d’organismes environnementaux en principe acquis à la vie de la faune sauvage, comme Alsace Nature et le Parc naturel régional des Ballons des Vosges. Elle a fini par créer des alliances improbables, comme celle de « la carpe et du lapin » avec des défenseurs des animaux passés défenseurs de la politique d’abattage du monde de la foresterie, en exigeant le respect des plans de chasse par les chasseurs. Le monde à l’envers, quand au même moment Brigitte Bardot par exemple, bien dans son rôle de défenseur des animaux, appelait à l’arrêt de la réalisation du plan de chasse chamois dans le Doubs.

C’est là qu’au final on voit combien il est difficile de savoir qui dit vrai, de faire le tri entre ce qui relève du factuel, du partisan, de la conviction personnelle ou de la défense d'une idéologie, voire de la mauvaise foi. Le fait d’avoir mis avec la pétition« chiens et chats » dans la même forêt, à un moment où la tendance est de jouer partout et dans tous les domaines sur l’émotionnel, a une fois de plus ouvert la porte à l’expression de passions exacerbées plutôt que de poser les vrais problèmes, chaque camp prêchant pour sa paroisse et ses paroissiens.

Le problème de fond n’est pas de savoir si les grands animaux sont en surpopulation, pas ou plus, il est ailleurs, porte un double nom : la déforestation et reforestation. La France consomme environ 2,4 millions d’hectares de forêt par an, chaque Français ferait disparaître 350 mètres carrés de forêt chaque année pour couvrir ses besoins de consommation et en face l’État veut planter, d’ici 2030, 1 milliard d’arbres. Pas besoin de sortir de l’ENA pour comprendre dans ce contexte que les grands animaux sont des accusés bien commodes ou des victimes collatérales de l’omnipotence de l’homme quand de l’argent est en jeu. J'avoue que cette tendance du nouveau monde de tout conflictualiser, avec au quotidien des murs permanents de lamentations dans médias et réseaux sociaux, finit par me "gonfler". J'ai l'impression d'être en permanence dans une sorte de Grenelle de la forêt, avec des communautaristes, en mode syndicaliste, en quête d’influence qu’ils soient cynégétiques, forestiers, agricoles ou écologiques. On est dans l’agit-prop constante, dans un brouhaha où tout le monde tape sur la table par communiqués interposés, parle et surtout n'écoute l'autre, comme dans un débat télévisé, un soir d'élections présidentielles.  Une fois de plus, on baigne dans le "dîner de cons", pardon de "malconnaissants ou malcomprenants", comme on dit aujourd'hui 😉. C’est le règne du « pasnous pasnous », des pensées d’arrière-garde, du détournement d’attention vers l’autre.

Le forestier dit le responsable c’est le chasseur, le chasseur dit l’Administration, les mouvements écologistes le changement climatique et les conditions environnementales défavorables, l’arbre s’il pouvait s’exprimer dirait les parasites, les maladies, le bûcheron, le bûcheron lui se tourne vers les donneurs d’ordre, les marchés, le machinisme, l’industrie forestière et les orientations politiques. Tout cela fait pour finir, beaucoup de monde concerné ou coupable et depuis longtemps, puisque le dépérissement de la forêt et son constat médiatisé date de 1980, avec la fameuse alerte allemande du « Waldsterben », soit à une époque où beaucoup des acteurs actuels de la nature et de la forêt n’étaient même pas encore nés...

Maintenant plus de quarante ans plus tard, qu’y-a-t-il de vraiment changé ? Est-on sorti de la monoculture forestière ? Non, elle a été augmentée. A-t-on changé de modèle en sortant des essences à croissance rapide pour planter des arbres favorisant la biodiversité et adaptés aux problèmes climatiques  ? Non. La forêt pousse-t-elle mieux ? Non, au contraire c’est le grand retour des coupes rases, pas du côté de l’ONF, beaucoup plus vertueuse sur ce coup, mais essentiellement du côté des privés en lien avec le business modèle des plaquettes et de la production de biomasse , c’est la tendance d’aller vers des essences exotiques à courte rotation, comme l’eucalyptus en Midi Pyrénées. Ca sera probablement prochainement à la Corse, la plus grande région boisée de France, épargnée jusque là, de connaître également l’euphorie de l’exploitation, les parts de gâteaux sont prêtes à être partagées avec un plan de relance et du budget à venir.

Pourtant dans les études et les discours de tous, on nous vend à longueur de journées du vert, avec notamment la forêt première capteuse de C02, mais en réalité sur le terrain, dans la vraie vie, l’heure est à la sylviculture industrielle, soit hyper intensive et peu raisonnée.

C’est bien à ce niveau que nous vient le mal de la forêt et sans doute se situe le premier responsable de ce qui se passe actuellement avec la volonté supérieure d’éradiquer le grand gibier. Si la forêt de demain devait vraiment être un refuge conservatoire de biodiversité et jouer son rôle de capteur de carbone, alors le grand gibier et les grands arbres seraient les bienvenues, nécessaires, incontournables. Si par contre, sur la base d’une forêt rajeunie, c'est la monoculture à croissance rapide qui est voulue, à partir de quelques essences monnayables au prix fort sur les marchés, il est évident que le grand gibier est à placer "animalia non grata", soit adieu les trois C, cerfs, chevreuils, chamois, les daims et sangliers, adieu la diversité des essences dans une futaie irrégulière et mélangée avec du tilleul, de l’érable, de l’orme, du frêne, du sorbier des oiseleurs, du houx accompagnée de ronces, myrtilles et framboisiers.

L'homme a cette stupidité de ne croire que ce qu'il veut entendre, d'adhérer qu'à ce qu'il veut voir, ce qui le rend misérable, sourd et aveugle. Dans le cas de la forêt, l’iceberg visible nous vend du vert, en avançant trois objectifs impératifs pour sauver la planète : séquestrer le carbone, influer sur les conditions environnementales et créer de la biodiversité, mais la partie cachée sous l’eau de l’iceberg démontre le contraire, la forêt doit produire des richesses en espèces sonnantes et trébuchantes, (16,4 millions d'ha estimés à 3 milliards d'euros)...

Rappelez-vous le discours d’Urmatt du 19 mai 2009, de Nicolas Sarkozy après la visite du premier site de sciage en France de la famille Siat Braun, tout y est dit, annoncé, pour mémoire trois extraits :

« On ne cesse de se plaindre de ne pas avoir de ressources en matière première, on en a une sous nos yeux et on la sous exploite », « nous allons engager aujourd'hui avec vous un plan d'action sans précédent en faveur de la valorisation de la forêt française », « c'est 21 millions de mètres cube de bois supplémentaires qu'il faudra sortir de nos forêts d'ici à 2020 » ! En clair le mot d’ordre a été donné pour faire tomber de l’arbre, avec un slogan trumpien, non pas « drill, baby, drill », mais « coupe, bébé, coupe ». Terminé la forêt de papa, des petits propriétaires forestiers, les scieurs allaient dorénavant pouvoir prendre la main à renfort de subventions et de chéquiers dans la poche.

Dans ce nouveau contexte, il fallait vraiment être « malcomprenant » pour croire que la grande faune chassée pouvait encore être ménagée, pour croire en une forêt jardinée prenant du budget et demandant de l'huile de coude pour maintenir le principe grand gibier et forêt. Sur le papier, des lignes entières de bonne conduite de la forêt ont été noircies, pour faire croître ensemble arbres et faune, en réalité, les dés étaient pipés « graves » par les coulisses du monde des affaires et le besoin du politique de mieux équilibrer la balance commerciale avec la Chine . Qui mieux que le technicien forestier de l’ONF pouvait alors comprendre ce qui se jouait, quand en mars 2018, son syndicat SNUPFEN Solidaires a manifesté au Gros chêne de la forêt de Haguenau, avec ce slogan fort «on n’est pas des usines à bois », « nous sommes le chêne, le cerf et l’oiseau »…

Si je reprends les paroles de Mihail Eminescu, "ce n'est pas les explications qui font la vérité, mais les faits eux mêmes", quel est le constat sept ans plus tard, à force de raser du bois malade ou sain ? Nous sommes face à une forêt de plus en plus jeune, soit beaucoup moins capable de capter le carbone qu’une forêt ancienne, avec une grande faune chassable « wanted » et une biodiversité fragilisée. Pire, dans le cadre du prolongement de la politique Sarkozy par Emmanuel Macron, avec l’objectif de replantation d’1 milliard d’arbres d’ici 2030, de verte elle devient rouge, 85 % des projets de replantation sont financés pour des coupes rases où l’exploitation dégrade les sols et la puissance des rayons du soleil brûle les jeunes plans résineux exposés sans parasols (cf le choc de transplantation). Pire, dans sa nouvelle fonction ajoutée de productrice d’électricité, elle pollue plus que le recours ancien au charbon, (pour passer du charbon à la biomasse, Gardanne, appartenant au magnat tchèque Kretinski et archi subventionné par nos sous, soi-dit en passant, a besoin de 850.000 tonnes de bois dont une partie arrive par bateau du Brésil et de l’Amazonie déforestée pour y mettre de l’eucalyptus, en attendant que nos forêts soient en capacité de combler le manque de plaquettes…). Bref, où que l’on regarde, la forêt et son devenir est pleinement entre les mains du Greenwashing, cet outil du marketing qui permet de tromper les « malcomprenants» pour lesquels nous sommes pris, en donnant l’impression qu’elle est respectueuse de l’environnement. Le verdissage est un fake, le drame c’est qu’il condamne le gibier, ses « plus nobles hôtes vivants », en référence au très beau livre « A travers bois » d’Etienne de Boislambert que beaucoup devrait lire ou relire pour se rappeler que « la forêt c’était la vision de la nature » avant tout et pas que de l’argent qui rappelons le au passage, « ne se mange pas ».

Le drame c’est que par idéologie et sans doute opportunisme, les organisations de défense de la nature et de la biodiversité, les Cassandres de l’écologie rentrent, non sans arrières pensées, dans le jeu des orientations visant à l’abattage des grands animaux. Nous rentrer dans le lard, nous stigmatiser, pourquoi pas, nous avons effectivement perdu de notre crédibilité, de notre expertise terrain, mais qu’on ne se trompe pas de combat, nous sommes avant tout, comme eux des amoureux de la nature et de la vie sauvage. Le combat n’est pas à mener contre la chasse, mais contre les abatteuses à 500.000 euros/pièce, contre la main mise sur la forêt par l’industrie du bois qui est seule en ce moment à dicter les règles du jeu, contre la conduite des peuplements et repeuplements par les gestionnaires des forêts, contre « le casino » des subventions au reboisement qui cause le saccage de la forêt, sur le principe du « je coupe, j’encaisse, je reboise, j’encaisse». Le combat est à mener pour une forêt résiliente, accueillante, capable de porter le concept forêt et gibier avec la création de prés-bois, de gagnages ligneux, d’îlots de peuplements mixtes, de végétations spontanées, de mares, etc, les brochures sont pleines de propositions…

Dans ces conditions, le premier accusé ne peut être la chasse, ce n’est pas elle qui a mis sur "Schlitte" la valorisation de la filière bois. Depuis Urmatt, les textes sont tombés de partout pour charger le traîneau de la chasse et le faire dégringoler, selon la formule, « la schlitte tue l'homme en montant, et l'achève en descendant ». Les accusés sont bien plus à chercher du côté de ceux qui surfent sur le principe dit de la pelle et de la pioche, né avec la ruée vers l’or en Californie dans les années 1850. Beaucoup de phénomènes industriels reposent sur cette idée venant de l’économie que « lors d'une période de forte demande pour un produit ou un service, ceux qui fournissent les outils nécessaires pour accéder à ces ressources peuvent réaliser des profits plus importants que ceux qui tentent de les exploiter directement ». Transposez le principe à la forêt et ce qui s’y passe et vous comprendrez mieux combien le haro sur le grand gibier est une mauvaise et funeste plaisanterie. Les gagnants sont à chercher du côté des fabricants de coupeuses-broyeuses de bois, des usines à bois, des sites de biomasses nouvellement implantés ou transformés, les banques, les investisseurs, les fonds de pension, les transporteurs par terre et mer, les propriétaires, les grands lobbies de la filière bois, comme les coopératives forestières, le pendant de l’ONF pour les forêts privées et beaucoup moins du côté des « petits », comme les bûcherons ou les petites entreprises du bois qui tentent de tirer profit directement de l’exploitation de la forêt.

Alors pourquoi tant de haine contre les chasseurs, donnés comme grands contributeurs du mauvais devenir de la forêt pour cause de surpopulation liée à la non réalisation des plans de chasse de la part de tous ceux qui devraient être nos alliés ? Je ne vois qu’une explication plausible, l’une de leur idéologie de plus en plus dans l’air du temps, celle du « grand remplacement », du « rewilding », le retour au sauvage. C’est l’objectif réel et absolu des organisations militantes animalistes, véganes, welfaristes et protectrices de la nature, obtenir une nature en libre développement en lieu et place du chasseur, mais avec des prédateurs, l’ours, le loup, le lynx, le chat sauvage, le chacal doré ou avec l’aide de la science, type contraception du sanglier. Alors, une nouvelle fois, comme pour le cochon tout est bon à exploiter, le texte de la pétition a été dans ce sens, une aubaine à ne pas manquer et toute trouvée pour enfoncer le clou des préjugés, notamment de la chasse loisir, tueuse de biodiversité, incapable de s’adapter à l’évolution sociétale. Enfoncer la chasse juste pour espérer avancer dans sa cause, en se rangeant au final du côté de la filière industrielle du bois et en condamnant ainsi le grand gibier, relève un peu beaucoup du cynisme. Ils « oublient » aussi qu’ au train où vont les choses, la forêt « valorisée » ne pourra que finir sans gibier et sans chasseurs, mais alors aussi sans prédateurs, faute de nourriture disponible…, à l’exception des moutons et des veaux… (Moi aussi, je sais ou peut être démagogue !)

Quant à la chanson du chasseur seul « profiteur », en plus pour son loisir, comme le souligne Alsace Nature, un seul commentaire, derrière chaque lot de chasse, il y a un bailleur avec un loyer. Pour garder le terme de "profit" retenue par l’association de Muttersholtz, il est donc au moins partagé depuis des décennies par le chasseur avec une commune ou l'ONF et cela au prix fort avec un revenu annuel fixe, stable, sécurisé. Ce n'est pas par hasard que certaines communes ont fait et font encore le choix de la rentrée d'argent par la chasse plutôt que par le bois pour assurer des rentrées budgétaires stables, permettant de faire des investissements au profit de leurs administrés.

Maintenant, le monde de la chasse est-il en mesure de répondre aux attaques ? Aux 19 préjugés que j’ai listé dans un écrit intitulé « la chasse en joue, feu » oui, nous avons les réponses. Par contre, face à la déferlante animaliste, suivie du mouvement des « réensauvageurs », inspirés grandement par Aldo Leopold , naturaliste américain chevronné du siècle dernier, (« oubliant » au passage qu’il était aussi chasseur passionné durant toute sa vie), la tâche ou la cause risque d’être perdue à terme, faute d’avoir mis sur pied une chasse naturelle et raisonnée pour tenir l’avenir, d’avoir su affirmer notre mode de vie ou d’avoir sorti à temps les barbelés à chaque fois que nécessaire. Nous ne sommes pas face à des détracteurs angéliques ou rêveurs, mais à des idéologies multiples avec toutes un fond commun, le refus de l’exploitation animale par l’homme, qui leur permet de chasser en meute. Nous au fur et à mesure des relèves des générations, nous sommes lâchés progressivement par les agriculteurs, les forestiers, les naturalistes, le grand public, la jeunesse, les politiques. Nous avons en face des organisations internationales, nationales, régionales riches, organisées, rompues au marketing, à la communication, avec des stratégies et des activistes. Nous, la tête dans le sable, sans trop de perspectives, pensant que la chasse est éternelle, qu’il faut mieux l’expliquer… Trouvez l’erreur.

Une chose est sûre, dans la bataille pour l’opinion publique nous sommes déjà à la dérive depuis longtemps. L’important pour tous ceux qui veulent nous voir disparaître de la nature n’est pas d’avoir les arguments irréfutables, mais de profiter de toute occasion, (cf le tollé récent du cerf de Luc Besson) pour façonner l’opinion, d’influencer les têtes, de mobiliser médiatiquement pour atteindre leur vision finale, celle d’un nouveau jardin d’Eden, d’un monde harmonieux entre l’homme et la nature.

Cette vision je l’ai nommée, « le Bambisme », sauf que même après discussion avec un dieu quelconque, « un endroit magnifique avec étangs, plaine et belles futaies où les chevreuils papotent avec les lièvres, où les canards ricanes en voyant passer les marcassins en file indienne et où le renard sonne de la trompe pour épater les crécerelles », n’existe pas et ne se fera jamais... (extrait adapté d’un hommage post mortem de Vianney Houette à Olivier Dassault)

 

Sources et références pour se faire son opinion :

Herbivory on young tree seedlings in old-growth and managed mountain forests, Nopp-Mayr 2015

Annick Schnitzler https://histoiresdeforets.com/hautes-vosges/le-cerf-un-element-indispensable-dans-lecosysteme-vosgien/

Pourquoi les forêts privées d’Alsace sont défigurées, https://www.rue89strasbourg.com/forets-privees-alsace-defigurees-52119

documentaire : "Mal-hêtre : enquête sur la forêt française".

Emergence de bioagresseurs en forêt http://docs.gip-ecofor.org/public/Synthese_REGEFOR2017_GIP_ECOFOR.pdf

Coupes rases et renouvellement des peuplements forestiers en contexte de changement climatique, Expertise collective CRRE juin 2023 http://www.gip-ecofor.org/crref-synthese-de-lexpertise/

Le salon de la pelle et de la pioche  https://www.euroforest.fr/sites/default/files/inline-files/2023.03.15%20CP6%20Mars%20-%20Euroforest%2C%20les%20exposants.pdf

La forêt un placement juteux https://www.lejsl.com/edition-charolais-brionnais/2018/06/22/le-bois-personne-n-en-doute-est-un-materiau-d-avenir-awvv

Développer la filière bois en Corse https://arritti.corsica/sucieta/comprendre-tout-linteret-du-bois-energie-pour-la-corse/

Sur le Front, la face cachée des forêts françaises https://www.youtube.com/watch?v=A11O6g-OTZ4

Ikea le seigneur des forêts https://www.youtube.com/watch?v=zYEWTisxDt8

Tribune dans le Monde « La politique forestière doit s’appuyer sur les écosystèmes existants plutôt que raser et replanter » https://semeursdeforets.org/signature-dune-tribune-dans-le-journal-le-monde/

La sylviculture à couvert continu https://prosilva.fr/

La sylviculture dynamique https://www.inrae.fr/actualites/foret-durable-garantir-lequilibre-faune-sauvage-sylviculture

Couper des chênes pour en faire des granulés https://reporterre.net/Contre-les-mega-usines-a-bois-une-grande-mobilisation-dans-le-Limousin

Au service de la forêt cultivée. https://www.allianceforetsbois.fr/proprietaires-forestiers/travaux-de-sylviculture/

Rewilding http://rewildingfrance.org/ https://rewildingeurope.com/what-is-rewilding/

https://www.jne-asso.org/2023/12/08/le-rewilding-recreer-le-sauvage/

Déclaration d’amour à la chasse https://www.youtube.com/channel/UCZIR19yr81nmaP0pMfiMwx

Tag(s) : #Articles pour Infos'Chasse 67
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