Ce qui était prévisible est arrivé après le premier tour des législatives où en principe chacun vote au premier tour pour son candidat préféré, celui qu'il connaît "un peu , passionnément". Ce temps où l'on donnait son bulletin à une "figure" locale semble lui aussi révolu, faire partie de l'ancien monde. Aujourd'hui, être un candidat "parachuté" par un parti politique n'est plus un handicap, au point que lorsque les médias montrent la photo d'un candidat arrivé d'ailleurs, les personnes interviewées ne savent souvent pas de qui il s'agit et pourtant ells ont voté pour lui.
De la même manière qu'un candidat local sache s'exprimer devant un micro, mener un débat contradictoire, parler non comme un perroquet qui répète les fiches reçues de Paris (les communicants parleront d'"éléments de langage"), mais avec un certain talent, n'a plus guère d'influence, c'est rentrer dans une catégorie "suspecte" celle des "élites".
"La bordélisation" voulue par les ambitieux du pouvoir est bien en marche et après le temps des urnes, le temps de la rue va revenir très vite, sauf que personne ne pourra dire je ne savais pas. Tout est dit dans les programmes des leaders nationaux. Alors ne nous étonnons pas que, selon le résultat des urnes, très vite la chasse à courre qui concerne tous les chasseurs, soit bannie, que le mercredi, dimanche et jours fériés deviennent jours de fermeture, comme du temps de Dominique Voynet, que la chasse sous terre soit abolie, tout comme les chasses traditionnelles, en attendant l’hallali final.
C'est tout ce que j'ajouterai à mon post précédent
https://www.veillecynegetique67.com/preview/7dfa373bb9ca2b572742c8baa564ecd5a75aa939
avec le renvoi aux 50 articles de la rubrique "Abolir la chasse, une lutte finale" pour ceux que le sujet peut (encore) intéresser.
https://www.veillecynegetique67.com/tag/abolir%20la%20chasse,%20une%20lutte%20finale%20%3F/
"On ne rattrappe pas un couteau qui tombe", proverbe boursier