L'enfer restera toujours pavé de bonnes intentions.

Il y a belle lurette que je ne me fais plus d'illusion sur l'être humain et tout particulièrement celui du haut de la pyramide des pouvoirs. La conférence mondiale sur le climat s'est, selon nos dirigeants, soldée par un succès "historique". Ça, c'était devant les cameras. La réalité "pragmatique" est toute autre.

Les U.S. et les lobbies nous montrent comment ça fonctionne dans la vraie vie, pas celle du show médiatique où tout le monde se fait des sourires, à renfort de grandes dents blanches ou des bises.

Barack Obama avait un programme ambitieux de lutte contre la pollution pour son pays et la planète. C'est sans compter avec le "Yankee" en campagne électorale, toujours prêt à rappeler que "l'enfer est pavé de bonnes intentions". Du coup, le "Clean Power Plan" a du plomb dans l'aile par l'intermédiaire de la Cour Suprême, comme le relate l'AFP hier, (cf fichier joint)

Morale de l'histoire du jour ? Je ne peux mieux dire qu'un blogeur parti de Paris pour la quiétude du Tarn et que j'aime bien : " je crois que l'espèce humaine s'éteindra un jour sur le tas d'ordures qu'elle aura créée, éliminant ou polluant peu à peu tout ce qui est indispensable à sa survie (eau, terre, lumière, air). Quel animal serait assez idiot pour épuiser les ressources dont il a besoin pour survivre ? "